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Etudes historiques et généalogiques.
C'est le nombre de joueurs licenciés âgés de 6 à 40 ans à "l'Auxiloise" comme le rapporte un article de "l'Abeille de la Ternoise" du 17 août 2006. Jean-Baptiste Déalle-Facquez entraîne l'équipe depuis janvier 2006.
Régis Renoncourt
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Dans un courrier au sous-préfet le 26 avril 1836, Wallart indique que l'effectif de la compagnie de pompiers se monte à 51 hommes y compris le tambour et si on y adjoint les trois personnes qui désirent y entrer, il sera de 54, officiers compris; tous sont habillés, tous ont des fusils, il manque seulement des sabres à 27, des gibernes à 31, des bricoles à 26, des casques et des épaulettes à 5.
Tout ne semble cependant pas être au meilleur niveau puisque au cours de la séance de conseil municipal du 16 février 1840, Wallart indique que l'on s'occupe de la réorganisation de la garde nationale. Nous sommes en fin de mandat et cette tâche pourra incomber au successeur de Wallart
Régis Renoncourt
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Le 26 mars 1834, Wallart donne des nouvelles de la compagnie des sapeurs-pompiers:
"C'est à M. Déplanques (c'est le père du futur général), le capitaine, que l'on doit l'excellent état de la compagnie de sapeurs-pompiers et M. Flécheux ancien lieutenant et maintenant pompier qui s'est toujours distingué par un grand dévouement dans tous les incendies qui ont eu lieu à Auxi ou dans les environs (à noter que les deux grands incendies du 19ème siècle à Auxi auront lieu après le retrait de Wallart, en 1844 et 1854)? Il a montré le même dévouement en 1828 en se jetant à l'eau pour retirer de la rivière (on dit toujours "rivière" mais en réalité l'Authie est un petit fleuve) la nommée Augustine Courtois et il lui a sauvé la vie. Le 12 avril 1831, il a, avec le même dévouement, sauvé les jours d'un enfant de deux ans qui était tombé dans une fosse de tanneur pleine d'eau de chaux; il y avait, là encore danger pour la vie de l'un et de l'autre".
Régis Renoncourt.
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C'est le montant prévu à la récente réunion du conseil municipal d'Auxi pour le renforcement de la défense incendie comme le relate "l'Abeille de la Ternoise" du 22 décembre 2011.
Régis Renoncourt
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Le 19 octobre 1831, Wallart donne la précision suivante : "Nous avons dans la compagnie de sapeurs-pompiers quatre individus (ce mot ne doit être pris, ici, dans un sens péjoratif) porteurs de hache parce que, dans les incendies, ces instruments peuvent être utiles; on leur a donné le nom de sapeurs porte hache mais ils font le même service que les autres pompiers et concourent, avec le reste de la garde nationale, pour le service ordinaire".
Au budget de 1832, constitué lors de la réunion de conseil municipal du 5 mai, 100 francs sont consacrés aux pompes à incendie, 120 francs à la solde des tambours, 10 francs à l'entretien des caisses et des armes, 30 francs à l'entretien du corps de garde, 100 francs au bois et luminaire du corps de garde.
Le 3 octobre 1832, Wallart propose au sous-préfet, pour la place d'adjudant de la garde nationale Charles Hulot, capitaine d'artillerie en retraite, membre de la Légion d'Honneur : "Cet officier a servi avec distinction et dans les principes de la Révolution de Juillet".
Au passage, on voit qu'il y a, à Auxi, plusieurs officiers en retraite. Nous ne sommes que 15 ou 16 ans après la fin du premier Empire (l'équivalent de 1934-1935 par rapport à la première guerre mondiale ou de 1977-1978 par rapport à la fin de la guerre d'Algérie).
Le 8 mai 1834, Wallart envoie au sous-préfet le résultat des élections à la garde nationale.
Régis Renoncourt.
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C'est le prix que facture à la commune d'Auxi Canette-Baron, entrepreneur sur la place du marché, pour livraison d'un sac de ciment portland en juillet 1896.
Régis Renoncourt
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Le 14 avril 1831, Pierre Dyvincourt, capitaine d'artillerie en retraite, chevalier de la Légion d'Honneur, commandant de la garde nationale accompagné de 5 officiers prête serment.
Le 28 juin 1831, Wallart indique au sous-préfet comment les élections au sein de la garde nationale ont été organisées.
Le 23 juillet, il le remercie pour l'envoi de sabres que celui-ci lui a annoncé. Il ajoute que cela lui servira "merveilleusement" pour la fête du 29 qu'à cause de la moisson sera remise au dimanche suivant (cf chapitre précédent). Le Te Deum pour l'anniversaire de la bataille gagnée sera chanté ce jour-là (le style est quelque peu emphatique!). Il ajoute qu'il n'a qu'à se louer de l'attitude du curé qui "consent à tout".
Le lendemain, nouveau courrier au sous-préfet: "Je vous prie de remettre au porteur - c'est le petit-fils du secrétaire de la mairie- les dix sabres que vous m'avez annoncés. Ils seront distribués par moi dimanche prochain sur la place aux dix garde-nationaux qui, comme vous le mandez, auront approché en tirant la cible le plus près possible du but. Je regarde ce moyen comme très bon pour raviver l'esprit public qui paraissait s'assoupir depuis quelque temps."
En écho à cette dernière phrase, il adresse au sous-préfet, le 3 septembre 1831, une lettre en faveur de la garde nationale avec cet "avertissement": "Il serait dangereux de ralentir le zèle de ceux qui se sont dévoués spontanément à la cause de Louis-Philippe".
Régis Renoncourt.
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C'est le montant du devis dressé par l'architecte en chef du département du Pas-de-Calais, en novembre 1861, pour les travaux à exécuter pour l'agrandissement et l'appropriation du presbytère d'Auxi pendant l'année 1862.
Régis Renoncourt
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Le 13 octobre 1831, dans un autre courrier au sous-préfet de Saint-Pol, Wallart indique que le conseil municipal a prévu en dépenses pour la garde nationale en 1831:
- solde des deux tambours : 60 francs
- entretien des armes : 30 francs
- entretien du corps de garde : 30 francs
- bois et luminaire dans le cas où on monterait la garde : 100 francs.
On le voit, en ce début de mandat, les courriers du maire d'Auxi au sous-préfet sont presque quotidiens.
Le 21 février 1831, Wallart indique qu'il manque 186 fusils à la garde nationale.
Le 14 mars 1831, il annonce les effectifs suivants: pompiers: 60: grenadiers : 80; Chasseurs: 80; 1ère compagnie de fusiliers : 55; 2ème compagnie de fusiliers : 55. Soit un total de 330 hommes pour le bataillon.
Il indique ensuite que 100 hommes sont encore disponibles et il propose donc de porter le bataillon à 400 hommes et les compagnies de fusiliers à 60.
Par un courrier du 17 mars, on sait que la garde nationale est encadrée par 69 officiers, sous-officiers, caporaux soit un chef de bataillon, 7 capitaines, 5 lieutenants, 5 sous-lieutenants, un adjudant sous-officier, 5 sergent-major, 5 fourriers, 20 sergents, 20 caporaux
Régis Renoncourt.
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C'est le nombre des incendiés assurés et 51 c'est le nombre des incendiés non assurés lors de l'incendie du 23 juin 1854 à Auxi.
On voit que l'assurance des biens immobiliers est encore une option très minoritaire sous le Second Empire.
Régis Renoncourt
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